Ca recommence. En France, les ennemis de la démocratie, dès l’instant qu’ils sont à gauche, sont protégés,
choyés, invités par les médias et encensés par les bobos. Et cela, sous Sark. Avec Hollande, ce sera « les chars russes sur les Champs Elysées » comme dit mon ami Philippe
Karsenty.
En décembre dernier, ces nostalgiques des goulags avaient agressé ceux qui voulaient assister à une
conférence de Marine Le Pen à la faculté Dauphine, l’obligeant à annuler sa visite.
Comme il n’existe aucune loi pour les empêcher de censurer leurs opposants – ils suivent de près le modèle
Stalinien – ils recommencent. Mediapart relaie sans vergogne leur appel à la répression : « Manifestation le 26 février contre la venue de Marine Le Pen à Châteauroux ». Ce n’est pas Plenel qui
va défendre la liberté !
Donc j’apprends que le 26 février, Marine Le Pen a prévu un meeting au Tarmac de Déols, et qu’une Union de
prolétaires fascistes UPAC, au nom des « libertés fondamentales » (la liberté de parole a été rayée de leur liste), appelle à se mobiliser pour l’empêcher de s’exprimer.
Mais les fascistes vont encore plus loin et la démocratie a du souci à se faire.
Crachant leur mépris à la face des français, ils affirment que Marine Le Pen va s’« ancrer dans les têtes
des masses populaires sur le mode de la confusion et de la manipulation intellectuelle par un discours faussement social sur un timbre populiste ».
Les « masses populaires » de Châteauroux considérés par l’Union des travailleurs comme de profonds débiles,
incapables de réfléchir par eux-même, apprécieront.
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