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Antifascistes !

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Vive la CGT 1906

Parce que nous sommes attachés à l'esprit de la Charte d'Amiens de 1906 qui fonda les bases du syndicalisme révolutionnaire, parce que nous nous opposons à la dérive réformiste de notre confédération depuis les années 1970 et que nous condamnons la déviance contre-révolutionnaire de notre CGT depuis la fin des années 90, nous avons fait le choix de ne pas mettre en lien le site de la confédération ainsi que celui de l'UD de la Creuse qui ont pris le chemin d'un syndicalisme bureaucratique et élitiste.

 

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 19:20

Comment évaluer le projet du Front national ? On pourrait l’écarter d’un revers de main, jugeant que les élucubrations xénophobes de la chef du parti d’extrême droite, Marine Le Pen, ne méritent pas de s’y attarder. Solidement installé dans le paysage politique depuis plus d’un quart de siècle, présent au second tour de l’élection présidentielle de 2002, susceptible de bouleverser une fois de plus cette élection, il faut malheureusement prendre au sérieux le Front national.

La candidate du Front national.La candidate du Front national.

Mediapart l’a donc fait en s’astreignant à lire, ligne à ligne, les principaux documents programmatiques rendus publics. A quelques jours de la «convention présidentielle» de Marine Le Pen, qui se tiendra les 18 et 19 février à Lille, nous avons passé en revue la totalité des propositions du FN et de sa présidente. Celles développées dans son projet 2012 (lire notre «Boîte noire»), et celles annoncées récemment dans les médias.

Plusieurs livres et études publiés ces derniers mois donnent des contre-argumentaires, souvents pertinents (lire en page 3 de cet article). Pour notre part, nous avons choisi de produire notre propre boîte à outils pour répondre au projet du FN : une sélection de nos enquêtes et reportages sur le Front national de Marine Le Pen, mais surtout 20 fiches thématiques.

Chacune de ces fiches expose, décrypte et explicite un des 30 volets du projet de la formation d’extrême droite. Jusqu’au 22 avril (date du premier tour), nous laisserons accessibles en page d’accueil du site nos réponses au FN. De ce programme Le Pen, nous pouvons tirer cinq enseignements principaux ; plusieurs d’entre eux constituent des surprises.

Le premier enseignement est que le Front national n’a rien oublié de son histoire et de ses racines. Il est bel et bien le parti de l’extrême droite française, qui va chercher dans l’entre-deux-guerres, le pétainisme et l’antigaullisme une partie de ses inspirations. On pouvait penser cette filiation oubliée pour construire, sous l’influence de plusieurs mouvements de ce type en Europe, un populisme radical. Ce n’est pas le cas.

Le «nouveau FN» continue ainsi à copier-coller de nombreuses propositions du FN de Jean-Marie Le Pen. Si la fille a laissé entendre qu'elle était plus «moderne» que son père, car elle est «une femme de son temps», les fondamentaux demeurent : «préférence nationale» (rebaptisée «priorité nationale»), stigmatisation des étrangers et obsession de l’immigration, rétablissement de la peine de mort par référendum, lutte contre l'avortement, opposition à la légalisation de l'euthanasie, politique familiale nataliste, retour à l'école d'avant 1968, mariage et adoption réservés aux couples hétérosexuels, etc. (lire notre fiche «Un "nouveau FN" bien proche de l'ancien»).

Le deuxième enseignement est plus surprenant. Il tient à la faiblesse de l’expertise, de la précision et de la cohérence de cet ensemble programmatique. L’analyse de l’état de la société française relève d’un salmigondis de revues de presse, empruntant, dans le plus grand désordre, statistiques ou travaux de recherche. Des affirmations contenues dans un chapitre sont contredites dans un autre. Des chiffrages trouvés ici ne sont plus les mêmes là. Des mesures sont clairement hors du cadre idéologique…

Ce manque de cohérence et de fiabilité vient souligner ce qu’est encore aujourd’hui le Front national : le parti des Le Pen, entreprise dynastique, où le travail théorique, la construction d’un corpus idéologique et l’affichage d’une véritable volonté de gouverner ne sont qu’accessoires. Le Front national demeure ce parti tribunitien construit sur les charismes du père puis de la fille. A contrario, imaginerait-on le FN aussi puissant si Bruno Gollnisch en était aujourd’hui le président ? En un quart de siècle de présence massive dans le champ politique, cette formation n’est donc pas parvenue à dépasser le stade des slogans et imprécations. C’est une raison d’espérer.

Le troisième enseignement peut être également une bonne nouvelle. L’immense majorité du programme du Front national est simplement inapplicable sauf à faire de ce pays une table rase. L’essentiel de son programme économique est une vue de l’esprit. L’ensemble des chiffrages est totalement fantaisiste. Le 12 janvier d’ailleurs, la présidente du FN avait convoqué la presse pour une mise en scène de graphiques, tableaux et chiffres. Un mois plus tard, cet exercice de chiffrage était mis à bas par le numéro 2 du FN, Louis Aliot. Invité de «Radio France Politique» le 5 février (voir cette vidéo à 14'15), il expliquait : «Bah... c'est financé, il suffira de mettre le budget en ordre de marche, de récupérer la compétitivité, la croissance, de faire des économies, c'est de la macro-économie.»

En plein exercice incantatoire, Louis Aliot ajoutait : «Il faut dire : la candidate c'est Marine Le Pen, il y a un projet. Il y a des économies à faire sur des postes budgétaires, c'est une économie d'ensemble qu'il faut voir, il ne faut pas sectoriser les mesures.» Marine Le Pen tombe ainsi en plein dans le travers qu'elle croit voir chez ses adversaires : «des slogans publicitaires aussi vides que creux». La campagne électorale peut ainsi être un moment de pédagogie citoyenne qui permettra de démonter un programme fantasmatique : à condition, justement, que ses adversaires en fassent une priorité.

Le quatrième enseignement est, lui, des plus inquiétants. On peut juger inapplicable ce projet et constater dans le même temps qu’il est porteur de ce qu’il faut bien appeler une guerre civile. Les remises en cause fondamentales des droits et libertés des citoyens, le pétainisme social, l’exacerbation de la priorité nationale articulée à une persécution des étrangers ou des Français d’origine étrangère sont autant de garanties de mettre le pays à feu et à sang.

L’isolement d’une France barricadée derrière ses frontières, ayant rompu avec l’Europe, donc indirectement avec les autres puissances démocratiques, est un autre danger funeste. Enfin le désastre économique programmé et la ruine de pans entiers de notre économie (agriculture, par exemple) rendraient simplement insupportable au pays une telle thérapie. On objectera que les programmes sont faits pour ne pas être appliqués. C’est d’ailleurs ce que le FN avait fait dans ses très rares conquêtes électorales locales. Les gestions médiocres, faites de renoncements et d’incompétence, de quelques villes vite perdues (Toulon et Vitrolles par exemple) ont montré que ce parti tribunitien ne pouvait passer l’obstacle de la gouvernance.

Le cinquième enseignement est que Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy se marchent dessus trop souvent. Surtout depuis que le président-candidat a énoncé les contours – très à droite – de son projet dans Le Figaro Magazine. Les deux candidats partagent un ensemble de positions (opposition au droit de vote des étrangers, à la légalisation de l'euthanasie, au mariage homosexuel) et de propositions (recours au référendum populaire). Surtout, leurs projets stigmatisent les «assistés» et les étrangers.

Nos 20 fiches (regroupées ici dans un seul dossier):
1/ Un «nouveau FN» bien proche de l'ancien

2/ La sortie de l'euro
3/ La dette
4/ L'«Etat fort»
5/ Economie et social
6/ Agriculture

7/ Immigration
8/ Sécurité
9/ Justice

10/ Logement
11/ Santé et recherche
12/ Education
13/ Ecologie

14/ Place des femmes
15/ Laïcité

16/ Culture
17/ Démocratie et institutions
18/ Presse et numérique

19/ Politique étrangère
20/ Europe

 

L'UPAC a fait le choix de publier le thème de l'immigration :

 

Le FN et l'immigration

 

Que ferait Marine Le Pen sans les immigrés ? Son premier «grand gain budgétaire phare», elle le leur devrait. Puisqu’elle compte économiser pas moins de 40,8 milliards d’euros en cinq ans grâce à eux… ou plutôt sur leur dos.

  • Les immigrés exclusivement envisagés comme des charges

Xénophobe, son programme est tout à la fois déconnecté des réalités économiques et sociales et trompeur. «L’immigration représente un coût important pour la communauté nationale», ne cesse de répéter la présidente frontiste. Cette assertion mérite d’être déconstruite en premier. Pas la peine de chercher dans ses écrits la méthode de calcul, il n’y en a pas. Elle se contente de citer les travaux d’un démographe et économiste autoproclamé, qui évalue ces dépenses à 70 milliards d’euros par an. Animateur d’une émission sur Radio Courtoisie et invité par le Bloc identitaire, Yves-Marie Laulan est le président de l’Institut de géopolitique des populations, structure au nom ronflant qui fustige sur son site internet «une immigration largement composée d’inactifs et d’assistés sociaux» et s’inquiète de voir «la France que nous avons connue et aimée» devenir «une juxtaposition de communautés étrangères les unes aux autres vivant dans la méfiance, la violence et le soupçon».

Dans cette optique, les immigrés sont considérés exclusivement comme des charges, alors que comme n’importe quelle personne, ils consomment des produits taxés, paient des impôts et contribuent à la solidarité nationale via les charges sociales. Par ailleurs, ayant été le plus souvent formés dans leur pays d’origine, ils n’ont rien ou peu coûté à l’État français en formation. Ils sont plus souvent au chômage, mais, comme ils sont surreprésentés parmi les ouvriers et les employés, ils pèsent moins sur les retraites car ils vivent moins longtemps.
En France, les études sérieuses en la matière sont rares, ce qui est dommageable au débat public. Mais elles existent néanmoins et montrent qu’au total le solde est plutôt positif, dans la mesure où les immigrés dépensent en moyenne plus d’impôts qu’ils ne bénéficient d’aides sociales.

L'étude centrée sur les comptes de la protection sociale, réalisée pour la MIRE, le centre de recherches du ministère de la santé, des affaires sociales et du travail, est l’une des plus reconnues dans le monde de la recherche. Lors des auditions menées en 2010 par des parlementaires de tout bord et l’association Cette France-là, Lionel Ragot, l’un des auteurs, économiste au Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepeii) en a résumé la teneur : «Globalement, leur contribution au budget des administrations publiques est positive et de l'ordre de 12 milliards d'euros.» Autrement dit, la participation nette d’un immigré est de l'ordre de 2 250 euros par an, alors que celle d’un «natif» est de 1 500 euros. Plus un étranger est qualifié, plus son apport aux finances publiques est important, rappelle-t-il aussi, tout en soulignant que les postes de dépenses que sont le RMI et les aides au logement «sont beaucoup moins importants dans l'ensemble des transferts sociaux» que, par exemple, les retraites et la santé.

Pour s’en tenir à cette vision comptable, à l’avenir, la présence des immigrés sera de plus en plus indispensable au financement des retraites et de la branche maladie, en raison du vieillissement démographique. «Nos résultats sont sans ambiguïté, insiste l’économiste. Sans immigration, en 2050, ce n'est pas 3% du PIB en plus qu'il faut trouver pour financer la protection sociale, c'est quelque chose de l'ordre de 4,3%.»

  • L’immigration ferait baisser les salaires des Français

L’autre argument majeur mis en avant par Marine Le Pen est que l’immigration ferait baisser les salaires des Français. Plus que son père, elle se place du côté du «social», en affirmant que «voulue et sans cesse réclamée par le Medef, la Commission européenne et les grands groupes du CAC 40, l’immigration est une arme au service du grand capital».

Mais, là encore, le raisonnement est erroné. Comme l’indique l’économiste Joël Oudinet, maître de conférences à l'université Paris-Nord 13, qui travaille sur les migrations internationales et les transferts des migrants. «Toutes les études montrent que les effets sont très limités», indique-t-il, les baisses observées pour les métiers peu qualifiés étant compensées par des hausses pour les emplois non substituables. En outre, les «autochtones» ne sont pas les premières victimes. «La concurrence, ajoute-t-il, se joue essentiellement entre les anciens immigrés et les nouveaux arrivants parce qu'ils se retrouvent dans les mêmes secteurs: construction, restauration, commerce, services, ménage...»

Une étude réalisée en 2010 par Javier Ortega, chercheur à la London School of Economics, et Grégory Verdugo, chercheur associé à la Banque de France, avance même que la présence d'immigrés sur le marché de l'emploi aurait plutôt un effet positif sur les revenus des natifs. Ayant étudié la période allant de 1962 à 1999, les auteurs constatent que non seulement «l'immigration a aidé les autochtones à grimper les échelons professionnels», mais que, en plus, «l'arrivée de migrants d'un niveau d'éducation et d'expérience donné aurait permis aux autochtones ayant le même niveau de se libérer de la contrainte d'occuper des emplois peu rémunérés et d'accéder à des postes mieux payés». Ainsi, «une croissance de 10% de l'immigration entraînerait une hausse de l'ordre de 3% des salaires des natifs».

Peut-on parler d’«immigration de masse», comme le fait Marine Le Pen ? Sans entrer dans la polémique qui l’occupe de manière récurrente avec Claude Guéant, le chiffre d’environ 200 000 entrées par an est observé depuis plusieurs années. Aucun de ces deux responsables politiques ne précise qu’environ 100 000 personnes quittent la France chaque année, ce qui divise par deux le nombre d’entrée nettes.

Dans son livre Parlons immigration en 30 questions (La Documentation française, 2012), le démographe François Héran rappelle qu’un quart seulement de la croissance de la population est due aux migrations : «Nos voisins (Allemagne, Suisse, Italie, Espagne) ont autant de décès que de naissances. Ils ne peuvent donc croître que par la migration. Autour de 1990, le grand pays d’immigration massive en Europe était l’Allemagne. Dans les années 2000, le solde migratoire de l’Espagne a culminé à 15 pour mille, six fois plus qu’en France.»

Pour Marine Le Pen, enfin, les étrangers arrivant en France ne seraient plus «assimilables». En réponse à ces déclarations, l’historien Gérard Noiriel rappelle qu’elles sont récurrentes depuis… la fin du XIXe siècle et qu’elles sont particulièrement fréquentes dans les périodes de crise économique et sociale quand les inégalités se creusent et que les gouvernants, incapables de résoudre les problèmes sociaux, cherchent ailleurs des boucs émissaires. En analysant des critères comme l'acquisition de la langue, la fréquence des unions mixtes et la mobilité socio-économique, les travaux scientifiques montrent que l'insertion des migrants dans la société française s'effectue à peu près au même rythme d'une génération à l'autre.

  • Des propositions liberticides et hostiles aux étrangers

Infondées, les analyses de Marine Le Pen se traduisent par des propositions toutes plus liberticides et hostiles aux étrangers les unes que les autres dans la lignée de celles de son père.

Transversale et contraire à l’article premier de la Constitution, la principale est la mise en œuvre de la «priorité nationale», qui favorise, dans tous les domaines de la société (emploi, logement, aides sociales), les nationaux par rapport aux étrangers. Taxant la politique d’immigration de Nicolas Sarkozy de «laxiste», terme que le chef de l’État réserve à la gauche, elle veut «stopper» les entrées d’étrangers, en écho à l’immigration zéro paternelle. Dans une logique dirigiste, elle croit pouvoir faire baisser les arrivées légales de 200.000 à 10.000 par an, soit une division par 20. Cela passerait par la suppression du regroupement familial, mesure irréalisable dans le cadre des textes internationaux, européens et français actuels qui protègent le droit à une «vie familiale normale».

Parmi les mesures les plus extrémistes, elle veut remettre en cause le droit d’asile, mettre fin à la libre circulation au sein de l’Union européenne, interdire les régularisations des sans-papiers, les expulser «systématiquement» et empêcher «les manifestations de clandestins ou de soutien aux clandestins», rétablir la double peine, supprimer l’aide médicale d’État, réduire la durée des cartes de séjour, revenir sur le droit du sol et réformer le code de la nationalité, faire du «racisme anti-Français comme motivation d’un crime ou d’un délit (…) une circonstance aggravante» qui «alourdira la peine encourue» et subordonner les aides au développement à la limitation des «flux» migratoires, voire à leur arrêt… en ce qui concerne les «pays du Maghreb».

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commentaires

Non au Front National !

Camarades ,

Ne nous livrons pas aux chants des sirènes fascistes, qui sous couvert d'un discours anti-systémique bien rôdé, ne visent qu'à instaurer un régime aux relents des années 30. Ne soyons pas naifs face à ce nouvel ordre moral que veulent imposer par le mensonge et la peur les tenants de la haine et du "sang pur". Sous couvert d'une fausse expression démocratique et médiatique, le FN ne s'est jamais détaché de ce qui a construit son origine : une droite populaire qui rejette le prolétaire, une droite chrétienne qui rejette le non-croyant ou l'autre croyant, une droite corporatiste qui rejette l'union des travailleurs. Le FN a ses petits groupuscules néo-nazi dont il se défend d'être en lien publiquement mais avec qui il travaille bien tranquillement  : GUD, bloc identitaire et autres "natios".

    Et lorsque l'on se penche sur son programme politique le vernis craque : Contre la retraite par répartition et tout ce qu' a fondé le CNR de 1945 (où était-il lors des manifs de 2010 ?)  , contre les droits des salariés ( poujadiste un jour, poujadiste toujours !) etc... 

De nombreux documents démontrent l'imposture du FN. L'UPAC vous en propose deux :

- Celui du collectif communiste Prométhée dans son numéro 85, (site net : http://promcomm.wordpress.com), 5 pages.

-Celui du collectif VISA (Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes), qui s'intitule "FN, le pire ennemi des salarié(e)s" et dont le lien est sur le blog, 29 pages. 

 

Ne lâchons rien ! 

Face au bras tendu du facho, levons le poing ferme du prolo !! 

 

Vêtements et accessoires skinheads et Antifas.

            Site "La Pétroleuse" : Clic<  link

 

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            Site "Antifa Wear" : Clic<  link

 

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Fabrication "FFC Production".